De plus en plus des filles Camerounaises habitant la France prennent le vol de Paris à Douala ou Yaoundé le plus souvent à l’invitation d’un dignitaire du pouvoir ou d’un autre homme pourvu de gros moyens financiers. L’argent gagné ainsi facilement est exhibé sur les réseaux sociaux comme des trophés de guerre.
Plusieurs vols au départ des deux aéroports parisiens d’Orly et Roissy à destination de Yaoundé et Douala sont de plus remplis de présence féminine aux formes plus aguichantes les unes que les autres. Des passagers masculins se sentent un peu moins stressés et les conversations rendent moins longues les quelques 7000 km qui séparent ces aéroports à ceux du Cameroun. La corruption grandissante a rendu une certaine classe riche au détriment des caisses de l’Etat. La folie n’ayant pas de limites, les nouveaux riches Camerounais qui se sont lancés dans l’immobilier à cause de la vigilance de certaines organisations gouvernementales luttant contre la corruption comme la CONAC, ont aussi besoin d’assouvir leurs désirs charnels. Et la préférence a été lancé sur les Camerounaises de la Diaspora.
Une aubaine pour certaines filles de la diaspora aux mœurs légères, habituées à une vie de luxe et de débauche. La crise économique que subit le vieux continent contribue un peu plus à ces échanges sexuels outre atlantique. Des hommes de la diaspora n’étant plus en mesure de rivaliser ceux du Pays sur le plan financier. A Yaoundé et à Douala, elles sont logées dans des hôtels pour certaines, et pour d’autres dans des luxueux appartements meublés où ces nouveaux riches viennent assouvir leur soif après leur journée de travail. Certains de ses hommes profitent même d’un temps creux pendant les heures de travail pour faire un saut chez la « Parisienne » qui évidemment est aux petits soins n’attend que son nouveau riche.
Il n’est pas rare d’entendre ces hommes se vanter de la présence de sa parisienne, et des pratiques sexuelles que cette dernière lui offre. Une exclusivité qui lui est réservée, et que sa titulaire, sa reine mère, son épouse est, selon lui incapable de réaliser. Comme un trophée de guerre, « la Mbenguiste » est exhibée à tous les amis qui au passage lui glissent des espèces sonnantes et trébuchantes pour ce qu’on appelle communément localement, « le transport ». Parfois des séances privées sont organisée entre plusieurs hommes et femmes, histoire de pimenter un peu plus ces orgies lubriques, et parfois aussi pour s’adonner à des pratiques rituelles mystiques. Une fois embarquée dans leur vol retour pour Paris, certaines filles bien que pleines aux As ramènent peut être aussi des MST, mais ont dû laisser leurs âmes au pays.
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