Décédé le 26 janvier dernier en Suisse, l’auteur des titres à succès « Ndolo l’amour », « Radio trottoir »… a été inhumé le 17 mars 2018 à Douala.
Il repose désormais au cimetière du Bois des singes à Bonapriso. Pierre De Moussy a été porté en terre avec les honneurs d’un grand musicien. Proches, collègues et amis ont tous reconnu au cours de leurs témoignages, le talent d’un artiste qui a marqué son époque. Un talent reconnu au plus haut sommet de l’Etat, traduit par l’élévation du disparu par le président de la République, Paul Biya, au titre de Chevalier de l’ordre national de la valeur à titre posthume.
Le disparu a été distingué au nom du chef de l’Etat, par le ministre des arts et de la culture (MINAC), Narcisse Kombi Mouelle. Ce dernier n’a pas tari d’éloges à l’endroit de Pierre de Moussy, qualifié selon le MINAC, « d’un des meilleurs contributeurs de l’éclosion du Makossa à l’international.» Victime d’un accident de la circulation le 30 décembre 2017 à Genève en Suisse, Pierre De Moussy avait été conduit en soins intensifs à l’hôpital central de ladite ville. Entré dans un coma profond, il avait été maintenu en vie par assistance respiratoire avant de rendre finalement l’âme le 26 janvier dernier. L’auteur des titres à succès « Ndolo l’amour », « Radio trottoir »… des années 1980, avait disparu de la scène musicale camerounaise depuis des années pour s’installer en Suisse. Décédé à 64 ans, Pierre De Moussy laisse une quinzaine d’albums à la postérité.
Cameroon-infos
Mirabelle Majo
20 mars 2018 at 22 h 11 minVraiment depuis quand il faut mourir pour avoir de la valeur, ça le servira à quoi
Vincent Olama
20 mars 2018 at 21 h 55 minRip……un artiste de cette trempe ne meurt jamais ….tu nous a tellement fais danser avec ton titre a succes »ndolo l’amour » que la terre de tes ancêtres te soit légère
Danie Zamio
20 mars 2018 at 21 h 30 minvivement que tu repose en paix.
Sophie-Maelle Harou
20 mars 2018 at 21 h 23 minLes morts s’en foutent de vos élévations.
Honorer les personnes de leur vivant.
Le après après là c’est la foutaise